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5 raisons de partir en Crète cet été

Légendes fascinantes, nature puissante et art de vivre gourmand… En Crète, les vacances s’adaptent à toutes les envies, mais toujours sous le signe de l’authenticité et de l’hospitalité. La preuve par cinq.

Pour se prélasser à la plage

Est-il nécessaire de rappeler qu’on vient d’abord en Crète pour se dorer sur ses plages ?  Il vous faudra choisir votre camp, et votre couleur ! Au nord-ouest, on aime le sable blanc et les eaux turquoise : à Georgioupoli, on se baigne avec pour horizon la minuscule chapelle Saint-Nicolas accrochée aux rochers ; à Falarsana encerclée de falaises arides, quelques vagues ajoutent de l’adrénaline. Dans le sud, on craque pour les reflets roses de la plage d’Elafonisi et les falaises rouges de la bien-nommée Red Beach. Même le gris est de la partie, sur la plage de Kommos au sable sombre et brûlant. Tout à l’est, la plage de Vai doit son succès à sa verte palmeraie. Les Robinson oseront une dernière folie : rejoindre la petite île de Chrissi (une heure de bateau), paradis des amateurs de snorkeling. 

 

Pour prendre l’air dans les montagnes

C’est dans les montagnes, qui culminent à 2500 m, que l’on approche le mieux l’âme de la Crète, aussi farouche qu’accueillante. Passé les collines arides qui bordent les côtes, les routes bordées de lauriers roses serpentent à travers les oliviers ; puis les vignes prennent le relais, ondulant à perte de vue. On pourrait se croire en Toscane si au détour d’un virage, n’apparaissaient une église byzantine. Les amateurs de randonnée fileront jusqu’au Lassithi, haut plateau fertile serti dans un cirque de montagnes et planté de moulins. Le plus illustre de ses enfants serait Zeus, né dans une grotte du Mont Dikti. Une poignée de gros villages veillent sur des vergers, des champs de pommes de terre et de citrouilles. Aux cascades de bougainvillées, jasmins et chèvrefeuilles répondent les chênes verts, caroubiers et platanes géants… Divin ! 

 

Pour s’encanailler dans les villes

En version « trendy », on file à Agios Nikolaos (côte nord), surnommé le « Saint Trop’ crétois ». Les bateaux multicolores dodelinent sur les eaux du petit port, restaurants et bars s’animent jusqu’à plus soif. Au petit matin, on embarque sur un caïque pour explorer les flots bleus du golfe de Mirabello et rejoindre la minuscule île de Spinalonga coiffée par l’une des plus belles forteresses vénitiennes de Crète, transformée dans le passé en… léproserie ! A deux pas, l’ancien village de pêcheurs d’Elounda est devenu le repère chic des milliardaires. En version « authentique » (mais néanmoins touristique !), on explore les villes de La Canée (Hania) et Réthymnon, sur la côte nord-ouest de la Crète. Port vénitien aux façades colorées, église dodue et minaret effilé, ruelles animées et promenade bordée de palmiers… leur ambiance oscille entre Venise et Istanbul. 

Pour réviser la mythologie

Découvert en 1878 aux portes d’Héraklion, le palais du roi Minos est le site archéologique le plus célèbre de Crète. L’archéologue britannique Arthur Evans a librement réinterprété les ruines : escaliers reconstruits, jarres géantes reconstituées, fresques repeintes en technicolor… Certes, on a parfois l’impression de circuler dans un décor de péplum, mais la reconstruction possède la vertu de la pédagogie. A l’ombre des grands pins, bercé par le chant des cigales, on explore le site et on redécouvre les légendes de la mythologie qui y sont associées : le Minotaure, mi-homme mi-taureau ; Dédale qui construisit un labyrinthe pour l’y enfermer ; Thésée qui réussit à vaincre le monstre et à ressortir du labyrinthe grâce à Ariane et à son fil. Sans oublier Icare, fils de Dédale, qui vola trop près du soleil… Plus sympa qu’une leçon de latin ! 

 

Pour se mettre au… régime !  

Des fruits, des légumes, du poisson, du pain, de l'huile d'olive… Depuis que le régime crétois est à la mode, on vient en Crète pour manger bio et sain. On y ajoute un verre de vin, culturellement indissociable de l’île ! S’il fait le bonheur des restaurants, le célèbre régime se déguste partout : dans les restaurants des villages et à l’Agreco Farm installée dans une nature sauvage plantée d’oliviers, aux portes de Réthymnon. Du pressoir à olives mû par un âne à l’alambic qui distille le raki (une eau de vie à forte teneur en alcool !), du pain à pétrir soi-même à la fabrication d’un miel parfumé, on met la main à la pâte. Le soir, la ferme se transforme en une délicieuse taverne. A l’ombre des glycines, les grillades et les poissons sont encore meilleurs. www.agreco.gr 

Comment on y va ? avec Transavia qui relie Montpellier à Héraklion deux fois par semaine (lundi et vendredi).

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