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Partez en week-end au départ de Montpellier

L’automne est la période idéale pour s’offrir un « city break » dans les capitales d’Europe. Grâce aux nombreux vols directs au départ de l’Aéroport Montpellier Méditerranée, il n’a jamais été aussi facile de s’offrir une escapade...

Paris et Londres, osez les chemins de traverse ! 

Que fait-on à Paris ?

De part et d’autres des grands boulevards, les passages couverts plongent les visiteurs dans le Paris du 19ème siècle. D’abord la Galerie Vivienne et ses chics boutiques; puis le Passage des Panoramas fameux pour ses lampadaires à gaz et ses boutiques de philatélie. De l’autre côté du boulevard Montmartre, les Passage Jouffroy (où débouche le Musée Grévin) et Verdeau alignent quant à eux les boutiques de déco et les librairies. Au nord de la capitale, Belleville et Ménilmontant se visitent le nez au vent ! Le gigantesque parc des Buttes-Chaumont (25 ha) attire les promeneurs, le parc de Belleville dévoile l’un des plus beaux panoramas sur la ville. Partout, le passé ouvrier ressurgit. Avec ses ruelles bordées de jolies maisons et ses jardins partagés, la Butte Bergère a des allures de village. Sur ses coteaux, on produisait autrefois du guinguet, un vin qui donna son nom aux… guinguettes. Les ruelles dallées de l’ancienne cité-jardin ouvrière de la Mouzaïa sont tout aussi bucoliques. Cachées derrière des murs moussus, ses maisons de briques valent désormais une fortune. Le prix à payer pour ce «bout de campagne» à Paris !

Comment on y va ?

Avec Hop Air France, qui propose jusqu’à 14 vols par jour, vers Orly et Roissy.

Que fait-on à Londres ?

Si le verre et l’acier ont envahi les rives de la Tamise, la brique résiste au fur et à mesure que l’on file vers l’est de Londres, dans les quartiers de Hoxton et Shoreditch. Les entrepôts désaffectés et les rues qui ont gardé leur caractère ouvrier d’antan, parfois décorées de graffitis  (dont ceux de l’artiste Banksy), abritent désormais bars branchés et restaurants trendy, friperies et galeries d’art. Comme Brick Lane et son marché aux puces - un joyeux bric-à-brac à explorer en dégustant les currys et bagels qui font la réputation de la rue. Chaque soir, les habitants viennent s’encanailler dans ce Londres éclectique et excentrique. Avant de se bousculer le dimanche dans les allées du Columbia Road Flower Market (marché aux fleurs) ou du Spitalfields Market, une halle du 19ème siècle transformée en paradis des jeunes créateurs. Vous y trouverez l’accessoire de mode improbable qui fera fureur en France… 

Comment on y va ?

Avec easyJet, qui propose jusqu’à deux vols par jour pour Londres-Gatwick.  

Amsterdam et Bruxelles, les charmes du Benelux 

Que fait-on à Bruxelles ?

Tintin est un excellent fil conducteur pour découvrir la capitale belge. Du marché aux puces de la place du Jeu de Balle (quartier des Marolles) qui sert de décor au Secret de la Licorne à l’hôtel Métropole vu dans les 7 Boules de Cristal, Hergé s’est inspiré de Bruxelles pour mettre en scène son héros. En chemin, levez la tête ! Les ruelles de la vieille ville cachent des dizaines de fresques murales. Rue de l’Etuve, un Tintin géant fait écho aux 51 cm du Manneken Pis. Mais au hasard de la balade, vous tomberez aussi nez à nez avec Black et Mortimer ou Gaston Lagaffe. Même les musées sont au diapason. Les collections du Musée du Cinquantenaire cachent la statuette qui a inspiré l’Oreille Cassée et la momie inca des 7 Boules de Cristal; alors que les grands dessinateurs, de Franquin à Morris (le papa de Lucky Luke), ont trouvé un écrin à la hauteur de leur talent dans l’immeuble Art-Nouveau du Centre Belge de la Bande Dessinée (CBBD). Dernier incontournable : le MOOF et ses 1300 figurines, des Schtroumpfs à Astérix. Les enfants adorent, les papas aussi ! 

Comment on y va ?

Avec Ryanair qui propose jusqu’à 4 vols par semaine pour Charleroi, aux portes de la capitale belge

Que fait-on à Amsterdam ?

La ville se découvre en vélo. Laissez derrière-vous la vibrante place du Dam et le Palais Royal, et partez flâner le long des 250 kms de canaux pour saisir son âme. Typiques avec leurs pignons crénelés, les maisons patriciennes se mirent dans les eaux calmes, à peine troublées par les péniches et bateaux-mouches qui s’effleurent. Filez ensuite plein sud. C’est ici que se nichent les riches demeures des notables du 17ème siècle. Trois musées se lovent dans ce quartier des arts: le Stedelijk dédié à l’art moderne ; le Rijksmuseum qui abrite quelques chefs- d’œuvre, comme La Ronde de Nuit de Rembrandt ; le musée Van Gogh enfin. Et si la peinture vous ennuie, il reste les musées de l’érotisme, de la torture ou du cannabis ! Autre option : le quartier de Jordaan. Les bobos ont investi ses maisonnettes, ses péniches, ses entrepôts convertis en lofts et ses cafés bruns aux boiseries burinées où l’on refait le monde, l’esprit embrumé par les « herbes folles » vendues dans les coffee-shops

Comment on y va ?

Avec KLM, qui relie chaque jour Montpellier à Amsterdam

Berlin,  la capitale « arty »

Que fait-on à Berlin ?

30 ans après la chute du mur qui coupa Berlin entre 1961 et 1989, la capitale allemande fascine toujours. Tout commence à l’ouest, sur le Kurfürstendamm, longue artère commerçante que l’on parcourt en dégustant des curry wurst (saucisses au curry), avec pour horizon la « dent creuse », ce clocher éventré pendant la guerre et flanqué d’une tour moderne. Cette alliance entre architecture contemporaine et histoire a perduré avec les travaux d’Hercule qui ont suivi la réunification. De Pei à Jean Nouvel, les plus célèbres architectes ont fait pousser des bâtiments audacieux. En coiffant le Reichtag (Parlement) d’une coupole transparente, Norman Forster a donné de la légèreté à ce bâtimentnéobaroque. Quand Postdamer Platz est aujourd’hui un centre commercial protégé par un chapiteau de verre. Même audace dans le quartier des ambassades qui borde le parc de Tiergarten. S’y promener, c’est un peu visiter une exposition universelle ! 
L’ex Berlin Est sert aussi de laboratoire à des créateurs fantasques. Il y eut d’abord le quartier d’Hackescher Markt dans les années 90. Réhabilités, les immeublesnéo-renaissance concentrent galeries d’art, show-rooms et bars trendy. Les artistes ont ensuite poussé plus loin, vers PrenzlauerBerg. On se bouscule désormais dans l’ex brasserie Schultheiss transformée en complexe culturel et dans les restaurants bios. Trop branché ? Filez à Kreuzberg, haut lieu du mouvement hippie dans les années 70. Alors que de l’autre coté de la rivière Spree, les fêtards plébiscitent Friedrichshain, avec ses friches industrielles reconverties en bars et clubs technos….

Comment on y va ?

Avec easyJet, qui relie Montpellier à Berlin trois fois par semaine, jusqu’à fin octobre.  
 

Fès et Marrakech, au cœur des médinas

Que fait-on à Fès ?

Avec sa médina du IXème siècle et ses palais  – il y en aurait plus de 1000 ! – cachés derrière les moucharabiehs, la plus ancienne ville impériale est aussi le plus beau joyau du Maroc. 300 000 personnes vivent dans les vieux quartiers de Fès. Quelle agitation ! On y croise de jeunes Marocains tractant des charrettes gorgées de fruits et des vieillards en djellaba, installés sur les bancs publics des placettes éclairées d’orangers. Il y a encore ces marchés animés et ces mosquées ciselées. Dans les souks, les tentations sont nombreuses; car Fès est la ville des artisans. Ferronniers, potiers ou céramistes, ils sont 30 000 à y exercer leurs talents. Tous les chemins mènent au souk des tanneurs. Un choc ! Dans des bassins colorés, les peaux sont tannées comme il y a mille ans. On les découvre avec une feuille de menthe sous le nez, pour supporter la mauvaise odeur…  

Comment on y va ?

Avec Air Arabia Maroc, qui  propose 4 vols par semaine pour Fès

Que fait-on à Marrakech ?

Plus au sud, la « Ville Rouge » ensorcelle les visiteurs. Tout commence sur la place Jemaa el Fna, le cœur et l’âme de Marrakech qui s’emballe dès la nuit tombée au rythme des gargotiers qui vendent des brochettes et des charmeurs de serpents ! De là, il faut partir à la découverte de la médina, dominée par le minaret hispano-mauresque de la mosquée de la Koutoubia. Parmi les trésors de la ville, les tombeaux de la dynastie saâdienne (XVIème siècle) et le Palais de la Bahia, avec leurs murs tapissés de zelliges, leurs plafonds aux dentelles de stucs et leurs patios plantés de jasmins… La tranquillité des lieux est seulement dérangée par le claquement de becs des cigognes, installées sur les murailles du Palais Royal voisin. A l’extérieur des remparts, le quartier de Guéliz s’explore à vélo. On y visite le Jardin Majorelle, ancienne propriété d’Yves Saint-Laurent, et le nouveau musée dédié au couturier.

Comment on y va ?

Avec Air Arabia Maroc, qui  propose 3 vols par semaine pour Marrakech
 

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