Escapades natures

Quatre raisons de partir en vacances à Agadir dès cet automne

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Avec sa longue plage de sable bordée d’hôtels et clubs de vacances, la station balnéaire marocaine est idéale pour oublier les frimas de l’automne, voire de l’hiver, mais aussi se dépayser en partant à la découverte de la région. 

1 – Se détendre dans les hôtels qui bordent la plage

Des activités nautiques et expériences pour toute la famille 

Vous avez envie de soleil, de chaleur et de bain de mer en plein automne et durant l’hiver, mais sans vouloir traverser la planète ? Optez pour Agadir ! Dès le 21 octobre, la compagnie Transavia  reliera Montpellier à la station balnéaire marocaine, à raison d’un vol chaque dimanche. Trois heures trente de vol, et vous voilà au bord de l’océan Atlantique. Ici, tout est possible : se détendre dans les spas feutrés des boutiques-hôtels, faire du golf sur les terrains qui verdissent les terres, ou s’amuser en famille dans les multiples clubs de vacances qui jalonnent les sept kilomètres de plages de sable. En hiver, la température ambiante oscille autour des 20°. Certes, l’océan est plus frais mais il est revigorant. Et pour les plus frileux, il reste les piscines aux dimensions XXL des hôtels. A moins d’enfiler une combinaison pour s’essayer à la planche à voile ou au jet ski. Pour rester dans l’air du temps, Agadir ne cesse de s’embellir. De nouveaux hôtels, toujours plus luxueux, sortent de terre et depuis quelques années, une agréable promenade aux allures de Croisette a été construite en bord de mer. Bordée de bars trendy et restaurants pour tous les goûts, elle file jusqu’à la marina d’où partent les excursions en bateau. Les jeunes Marocains en ont fait leur nouveau rendez-vous amoureux, croisant en fin de journée les touristes en goguette. 

2 – Renouer avec les charmes du Maroc

Goûter à la culture et aux délices du royaume chérifien

Agadir a été détruite par un tremblement de terre en 1960. Une ville nouvelle est sortie des ruines. Pour autant, Agadir n’a pas fait table rase de la culture marocaine. Sur les hauteurs, les ruines de la kasbah construite en 1540 se visitent. De là-haut (on peut la rejoindre par un téléphérique), le panorama est spectaculaire, encore davantage au coucher de soleil. Plus bas dans la ville, le souk couvert El Had permet de s’immerger dans les odeurs et couleurs du royaume chérifien. Il faut prendre le temps de se perdre dans les ruelles pour dénicher quelques souvenirs, et marchander ! Maroquinerie ou tapis, poteries ou vêtements, épices ou pâtisseries, à chacun ses plaisirs… Et pas besoin de boussole : dans ce dédale pour tous les goûts, vous finirez toujours par rejoindre une des portes qui cernent le souk. La médina fait également illusion. Elle pourrait être millénaire mais n’a été construite qu’en 1992. C’est l’architecte italien Coco Olizzi qui l’a imaginée, en s’inspirant de l’ancienne médina de la ville. On y retrouve le style architectural traditionnel, jusque dans les détails qui ornent les murs. Dans le labyrinthe des bâtiments, le tumulte touristique d’Agadir est vite oublié et la promenade dans les ruelles couvertes est rafraîchissante. Des artisans y ont installé des ateliers. On y déniche des cadeaux de qualité avant de siroter une orange pressée ou un thé à la menthe à la table d’un café.     

3 – Découvrir une campagne forte en traditions

Des plages sauvages aux collines couvertes d’arganiers

Il faut oublier un temps la plage et oser prendre le bus ou louer une voiture pour sortir de la ville et découvrir un Maroc authentique. En longeant la côte vers le nord, les contreforts de l’Atlas redessinent les paysages, avant de s’échouer en hautes falaises dans l’Atlantique, dévoilant ici et là quelques jolies plages aux vagues puissantes, prises d’assaut par les surfeurs. La route est à l’unisson. Elle serpente au milieu de vertes et bucoliques collines qui, depuis quelques années, se sont couvertes d’arganiers. L’huile extraite de leurs noix fait désormais la richesse des paysans de la région. La version cosmétique fait le bonheur des Françaises ; la version alimentaire envahit les restaurants les plus « tendance », partout dans le monde. Sur les bas-côtés, des gamins veulent leur part du gâteau. Ils s’improvisent vendeurs à la sauvette pour écouler quelques bouteilles d’huile, des pots de miel ou du thym aussi. Pour une découverte toujours plus sauvage, il faut donner un coup de volant et filer davantage dans les terres. A 25 kilomètres au nord d’Agadir, on découvre la Vallée du Paradis. Au pied des montagnes de l’Atlas, elle dévoile des cascades et piscines naturelles auxquelles on accède après une vivifiante randonnée de trente minutes. C’est entre janvier et mars, lorsque les eaux descendent des montagnes, qu’elles sont les plus belles.   

4 – Prendre le large, à Taghazout ou Essaouira

A la découverte des villes « trendy » du Maroc 

Agadir a désormais une concurrente ! A trente kilomètres au nord, Taghazout est le nouveau lieu tendance du Maroc. Depuis quelques années, le royaume a fait sortir de terre des hôtels de luxe enroulés autour d’une chic marina. On y vient pour se ressourcer ou s’essayer au surf. Les clubs pullulent pour prendre la bonne vague, mais on peut aussi se contenter de faire du paddle dans les criques protégées. Pour autant, le village de pêcheurs n’a pas perdu son âme. On profite de sa plage centrale à l’ambiance populaire, on s’installe à une terrasse pour assister au retour des barques bleues chargées de bars ou de daurades. On les retrouvera ce soir en tajine, à la table de restaurants décontractés. Dans les ruelles, des hôtels de charme organisent des stages de yoga, des chambres chez l’habitant proposent une authentique tranche de vie marocaine, des riads soigneusement rénovés se combinent avec des échoppes où l’on déguste d’excellentes pâtisseries. Et pour ceux qui veulent pousser plus loin, direction Essaouira, à 150 kilomètres encore plus au nord. Avec ses maisons à l’éclatante blancheur, elle éblouit les visiteurs. On pénètre avec jubilation dans son port à la beauté sauvage, on explore son fort - souvenir de l’époque où elle s’appelait Mogador - avant de vagabonder dans sa médina ombragée d’orangers où se mêle échoppes d’autrefois et galeries d’art. Un délice !   

Comment on y va ? Avec Transavia qui dès le 21 octobre*, reliera Montpellier à Agadir, avec un vol par semaine, opéré chaque dimanche.

*1er vol le mardi 21 octobre, puis chaque dimanche à compter du 26 octobre.

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