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La Qualité, l'Environnement, la Sécurité et la Sûreté de l'Aéroport Montpellier Méditerranée

SYSTEME DE MANAGEMENT GLOBAL

Depuis 20 ans, l’Aéroport Montpellier Méditerranée a mis en place un système de management afin de garantir un fonctionnement cohérent et optimisé.

Afin d’atteindre ses objectifs, la Direction a mis en place une stratégie globale, ainsi qu’une politique Environnementale.

 

Référentiels et reconnaissances officiels

Qu’elles soient règlementaires ou volontaires, l’aéroport a obtenu, depuis ces dernières années, diverses reconnaissances officielles. On retiendra plus particulièrement les certifications :

Aujourd’hui, l’aéroport s’engage activement dans un programme de réduction de ses émissions carbones, l’Airport Carbon Accreditation. L’Accréditation de niveau 2 a été obtenue en 2021. Le niveau 3 devrait être atteint en 2022.

 

Qualité de service

L’Aéroport Montpellier Méditerranée a pour objectif la satisfaction de ses clients, qu’ils soient passagers ou partenaires de la plate-forme. Pour ce faire, des enquêtes de satisfaction sont réalisées périodiquement.

Satisfaction passagers

L’Aéroport Montpellier Méditerranée réalise, 2 fois par an, une enquête de satisfaction sur un panel de 1000 passagers. Ces campagnes couvrent les 2 saisons aéronautiques que sont « printemps / été » et « automne / hiver », et sont réalisées conjointement avec une dizaine d’autres aéroports Français, ce qui permet de s’étalonner et de pouvoir prendre connaissance des meilleures pratiques.

Réclamations et suggestion passagers

Afin de recueillir les doléances et remarques des passagers, l’Aéroport de Montpellier met à disposition de ces derniers, des formulaires sur internet, ainsi qu’un contact physique possible au niveau de l’Accueil en aérogare.

L’aéroport s’engage à répondre sous un délai de 2 semaines à toute réclamation, qu’elle soit émise dans l’aérogare ou transmise par courrier.

ENVIRONNEMENT

L’Aéroport Montpellier Méditerranée s'engage à maîtriser les impacts sur l’environnement, grâce à des actions ciblées, dans les domaines de :

Le réchauffement climatique est l’un des problèmes majeurs de notre siècle et la maitrise des émissions en gaz à effet de serre en est la clé (GES). Le monde de l’aérien est responsable de 2 à 3% des émissions GES d’origine humaine dans le monde. Cette industrie est consciente de son impact et est en pleine mutation : des investissements massifs sont réalisés par les constructeurs notamment afin de trouver des solutions d’avenir pour garantir un développement durable de son activité.
Dans cette optique, l’Aéroport de Montpellier Méditerranée désire également s’engager à son niveau en présentant une stratégie bas carbone, agrémentée d’un plan d’Action de management de ses émissions GES, visant à réduire ses émissions et à promouvoir une activité plus propre et décarbonée avec ses partenaires. 
L’AMM a été récompensé de ses efforts en 2021 avec l’obtention du niveau 2 directement du programme international « Airport Carbon Accreditation » (ACA). 
Ce programme, qui regroupe plus de 300 aéroports dans le monde, est composé de 6 niveaux d’accréditation et encourage les aéroports à mettre en place des démarches bas carbone :


 
En 2022, l’aéroport de Montpellier a été certifié niveau 3, il vise dorénavant le niveau 3+ (2026). Ces niveaux supérieurs intègrent les émissions de tous les partenaires de l’aéroport, tant bien les acteurs de l’aviation (compagnies aériennes, maintenance aéronautique, assistants d’escale, écoles, etc) que les autres secteurs partenaires (hôtels, restauration, transports, logistique, etc). Ces niveaux nécessiteront un engagement de ces partenaires pour garantir la collecte des données ainsi que la mise en place d’échanges réguliers pour mettre en place des bonnes pratiques communes à l’échelle de la plateforme.
Le niveau 3 + permet de garantir la neutralité carbone de l’Aéroport sur son périmètre de maîtrise, et ce en intégrant de la compensation.
A terme, la neutralité carbone nette de l’aéroport est en projet d’ici à 2050, conformément aux accords du GIEC (conférence de Paris).
Un flyer de présentation de la démarche ACA est joint ci-dessous :

Flyer ACA

En complément de la prise en compte des Gaz à Effet de Serre, l’Aéroport est aussi attentif à son impact sur la qualité de l’Air.

Il faut en effet différencier les émissions en gaz à effet de serre (dioxyde de carbone, méthane, gaz réfrigérants), qui impactent à terme le climat, et les émissions de polluants atmosphérique (Particules fines, ozone, Nox, COV) qui impactent la qualité de l’air et donc la santé de l’écosystème à proximité de l’aéroport (travailleurs, faunes et flore).

La lutte contre les différents types de pollution (trafic aérien, véhicules de service, centrale de production d’énergie, chauffage, climatisation …) reste un souci constant.

Depuis 2003, des campagnes de mesure de la qualité de l'air sont réalisées tous les 5 ans parAtmo Occitanie. Elles ont permis d’évaluer l’évolution des teneurs dans l’air ambiant des composés émis par les aéronefs et les autres activités liées à la présence de l’aéroport tant à l’extérieur qu’à l’intérieur de l’aérogare.

SITES SELECTIONNES POUR LES MESURES DE L'AIR

  • Intérieur : Hall arrivée, Salles d’embarquement, Zone d’enregistrement, Passerelle.
  • Extérieur : Voie de circulation devant l’aérogare, Voie d’accès à la zone aéroportuaire, Parking voitures, Parkings avions, Piste.

POLLUANTS MESURES

  • Dioxyde d’azote (NO2) : mesure de présence des combustions, du trafic automobile et aérien. Le dioxyde d'azote provient à 60% des véhicules. Ils affectent les fonctions pulmonaires et favorisent les infections.
  • Benzène, toluènes, xylènes (BTX) : mesure de présence des véhicules, des avions, des industries, des solvants... Ils provoquent gène olfactive, irritation et diminution de la capacité respiratoire. Le benzène a des effets mutagènes et cancérigènes.
  • Composés Organiques Volatils (COV) : entrent dans la composition des carburants mais aussi de nombreux produits courants (peintures, encres, colles, détachants, cosmétiques, solvants...). Des COV sont émis également par le milieu naturel.

CONCLUSIONS

  • Respect des seuils réglementaires pour l’Air ambiant et l’Air intérieur.
  • Impact mineur sur la qualité de l'air locale. Le milieu très "ouvert", reste favorable à la dispersion rapide des polluants émis.
  • Baisse légère du NO2 et du benzène autour de l'aéroport grâce à amélioration globale dans la région montpelliéraine.

Qualité de l'air sur l'Aéroport de Montpellier Méditerranée (Hérault) - Bilan 2018

Depuis 2017, l’Aéroport a mis en place, en partenariat avec ATMO Occitanie, une évaluation des émissions de polluants et de GES. Cette dernière permet :

  • l’identification et la localisation des sources d’émissions de polluants atmosphériques et de GES sur la zone aéroportuaire, 
  • l'évaluation  de  la  contribution  des  différentes  activités  de  la  zone  aéroportuaire  en  termes d’émissions de polluants atmosphériques par rapport aux autres activités émettrices du territoire, 
  • l’évaluation de l’impact d’AMM sur les concentrations des principaux polluants réglementés en air ambiant.

La  méthodologie  de  la  réalisation  de  l'inventaire  des  émissions  s’appuie  sur  les  données  réelles d’activité  de  la  plateforme  aéroportuaire ; 2 types d’émissions sont différenciés :


EMISSIONS DES AERONEFS

Pour  les  émissions  des  aéronefs,  le  périmètre  considéré  concerne  la  phase  de  roulage,  de  décollage, d’atterrissage, de montée et de vol au-dessous de 3000 pieds (= 915 m) d’altitude, appelé également cycle LTO (Landing and Take Off). Par hypothèse, il est supposé que les émissions de polluants atmosphériques générées au-dessus de cette altitude (phase de croisière) soient émises au-dessus de la hauteur moyenne de la couche de mélange et par conséquent n’ont pas d’impact sur les basses couches de l’atmosphère.


 
Cinq phases sont considérées :"Approche", "Roulage d’arrivée", "Roulage départ", "Décollage" et "Montée". 

  • Ainsi pour chaque mouvement d’avion, les émissions de chaque phase du cycle LTO sont calculées.
  • Un calcul des émissions de particules dues à l’abrasion des pneus, des freins et des pistes est également effectué.  

 

EMISSIONS AU SOL 

Les émissions au sol sont issues de sources fixes et de sources mobiles. Les sources d’émissions au sol prisent en compte dans cette étude sont présentées ci-dessous : 

Sources fixes : 

  • les APU (Auxiliary Power Unit),
  • les centrales thermiques (chaufferie Fioul et Gaz), 
  • la climatisation et la réfrigération (pompe à chaleur), 
  • le stockage d’hydrocarbures, 
  • les réseaux de distribution de gaz, 
  • les sources biotiques (végétation, espaces verts) : Accotements et bande aménagée présent autour des pistes pour des raisons de sécurité, 
  • les opérations de dégivrage, de déverglaçage et d'antigivrage des avions. 

 

Sources mobiles :  

  • les véhicules d’AMM,  
  • le trafic routier accédant à l’aéroport (fréquentation des parkings et taxis), 
  • le réseau de bus (navette Aéroport – Centre-ville), 
  • les engins spéciaux.

Le domaine d’étude est le suivant : 

 

CARTOGRAPHIE DES CONCENTRATIONS

Afin de compléter l’évaluation de l’impact de l’aéroport sur les polluants atmosphériques, des cartes de concentrations des NO2, PM10 et PM 2,5 ont été réalisées à partir  d’outil  de  modélisation.  La méthode de modélisation utilisée permet de disposer d’une information sur les concentrations dans l’air ambiant en tout point du territoire. Cette méthode prend en compte un modèle de dispersion atmosphérique qui intègre les émissions de polluants atmosphériques, les données météorologiques, la pollution de fond du territoire ainsi que d’autres paramètres.

Sur l’ensemble des paramètres, on constate que les concentrations situées au niveau des 1 ères habitations autour de la plateforme aéroportuaire sont similaires au fond urbain montpelliérain. 

 

CONCLUSION

L’activité des aéronefs, aviation commerciale et  légère,  représente  pour  la  quasi-totalité  des polluants la principale source d'émission avec une contribution supérieure à 90% des émissions totales, à l'exception du méthane. 

La contribution des émissions liées à l’aviation légère aux émissions totales des activités d’AMM est majoritaire pour l’ensemble des polluants atmosphériques et GES étudiés. 

Parmi les sources au sol, ce sont les APU qui contribuent le plus aux émissions des polluants sur AMM.  

Les résultats des études sont disponibles sur le site d’ATMO Occitanie :
https://www.atmo-occitanie.org/ressources?text=a%C3%A9roport&pub%5B0%5D=document_localisation%3A55 

Montpellier Méditerranée a mis en place un Code de Bonne Conduite Environnementale de la Circulation Aérienne, dont l'objectif est de définir un certain nombre de règles destinées à maîtriser les émissions sonores et gazeuses (C02, azote...) autour de la plate-forme.

Conscients que le respect de l'environnement est un élément incontournable du développement durable du transport aérien, les acteurs du transport aérien, signataires de ce code, s'engagent dans la limitation des nuisances sonores et gazeuses, tout en gardant comme priorité principale le maintien de leur propre sécurité et de celles des populations survolées.

Ce texte s’applique dans les conditions habituelles d’exploitation du terrain. En cas d’événements inhabituels, la bonne utilisation de ce code ne peut être garantie.

Code de Bonne Conduite Environnementale - Aéroport Montpellier Méditerranée - 2019

  
Un espace riverain est disponible ici : https://www.montpellier.aeroport.fr/societe-aeroport/aeroport-montpellier-mediterranee/riverains-aeroport-montpellier 
 

EAU PLUVIALE

Avec ses 470 hectares, la problématique pour l’exploitant est de préserver le milieu naturel des rejets (eaux souterraines et eaux superficielles) et prévenir les risques de pollution.

Depuis plusieurs années, l’aéroport a investi dans la mise en place d’ouvrages importants, au vue des surfaces concernées (parkings, bâtiments, voiries).

AMÉNAGEMENTS RÉALISÉS EN MATIÈRE D’EAU PLUVIALE

Les aéroports se caractérisent par un dixième de leurs surfaces imperméabilisées (parkings voitures et avions, voies de roulement, bâtiments, pistes…).

Lorsqu’il pleut, l’eau se charge de tous les polluants rencontrés sur le sol (poussières, kérosène, gomme des pneus, huiles...). L’objectif des ouvrages décrits ci-dessous est de rejeter dans le milieu naturel des eaux filtrées, afin de ne pas polluer le milieu.

Depuis 2001, l’aéroport a effectué d’importants investissements conformément à l’arrêté préfectoral du 24 novembre 2003 au titre de la loi sur l’eau.

Le réseau d’eaux pluviales se compose de réseaux de collecte, débourbeur-déshuileurs, bassins de rétention ou cuves, avant de rejoindre le milieu naturel. Les eaux issues des parkings voitures, parkings avions, voies de circulation, zones de maintenance, zone de Fret et aérogare sont raccordées à ce système de collecte et de traitement.

MOYENS DE PROTECTION CONTRE LES POLLUTIONS

Des accidents de pollution comme le trop plein d’un réservoir d’avion se déversant sur le sol, sont possibles. Ainsi, toutes les précautions sont prises pour prévenir une pollution chronique et accidentelle.

Ces précautions se traduisent par l’aménagement d’infrastructures (bassins de traitement de la pollution chronique et accidentelle sur les aires de maintenance, séparateurs d’hydrocarbures sur les parkings voitures) destinées à traiter les eaux pluviales avant leur rejet dans le milieu naturel.

NAPPE PHRÉATIQUE

Le site aéroportuaire se localise au droit d’un ensemble de nappes superposées (superficielle, villafranchienne et astienne), interconnectées et séparées par des niveaux argileux.

Le niveau de la nappe est suivi par 2 piézomètres positionnés au niveau du parking P2 à environ 10 mètres de profondeur.

La nappe étant utilisée pour l’arrosage des espaces verts, l’aéroport a mis en place des ouvrages et des mesures pour mieux maîtriser les impacts sur l’exploitation de la nappe superficielle :

  • Compteur volumétrique par forage.
  • Protection des forages (fermeture et étanchéité).
  • Procédure de déversement accidentel.

EAU POTABLE

L’aéroport est alimenté via la station de traitement de Vauguières, à 80% par l’eau du Bas Rhône Languedoc et à 20% par les forages de Vauguières.

EAU USEE

Après utilisation, les eaux usées sont collectées par le réseau d’eaux usées qui les achemine vers la station d’épuration MAERA à Lattes .

AÉROPORT MONTPELLIER MÉDITERRANÉE DANS SON CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL

La plateforme aéroportuaire de Montpellier Méditerranée est située sur la rive nord-ouest de l’étang de l’Or ou de Mauguio.

Elle est donc bordée au sud, à l’est et à l’ouest par un vaste complexe de zones humides périphériques à l’étang de Mauguio et aux étangs palavasiens abritant une faune et une flore très diversifiée.

Ces étangs constituent de plus une zone de halte migratoire très importante au printemps et en été pour l’ensemble des oiseaux d’Europe de l’Ouest, empruntant la vallée du Rhône et la voie méditerranéenne pour se rendre jusqu’en Afrique du Nord et de l’Ouest et inversement.

IMPORTANCE PATRIMONIAL DES ÉTANGS BORDANT L'AÉROPORT

SITES NATURA 2000

L’étang de l’Or et les étangs palavasiens sont entièrement classés au titre de Natura 2000 (Zone de Protection Spéciale et Site d’Intérêt Communautaire). Le classement en Zone de Protection Spéciale est lié au fait que ces lagunes abritent de nombreux habitats naturels pour les oiseaux classés à l’annexe I de la Directive Européenne « Oiseaux ».

ZONES NATURELLES D’INTÉRÊT ECOLOGIQUE FAUNISTIQUES ET FLORISTIQUE (ZNIEFF)

Une ZNIEFF est un secteur du territoire particulièrement intéressant sur le plan écologique, participant au maintien des grands équilibres naturels ou constituant le milieu de vie d’espèces animales et végétales rares, caractéristiques du patrimoine naturel régional.

ETANG DE L’OR ET ÉTANGS PALAVASIENS, SITES « RAMSAR »

La Convention de Ramsar est un traité international pour la conservation et l'utilisation durable des zones humides, visant à enrayer la dégradation et la perte de zones humides, aujourd'hui et demain, en reconnaissant les fonctions écologiques fondamentales de celles-ci ainsi que leur valeur économique, culturelle, scientifique et récréative..

DIAGNOSTIC ÉCOLOGIQUE DE LA PLATE-FORME AÉROPORTUAIRE

HABITATS NATURELS

La plateforme aéroportuaire peut être divisée en deux parties :

  • Une partie nord rassemblant essentiellement des habitats de « prairies méditerranéennes de fauche », avec l’outarde canepetière, perdrix rouge, vanneau huppé, pluvier doré, héron garde-bœufs, milan noir, faucon crécerelle, corneille noire, choucas des tours, étourneau.
  • Une partie sud composée essentiellement de « prés salés méditerranéens », de «sansouires», avec le héron cendré, aigrette, flamant rose, tadorne, mouette mélanocéphale, goéland leucophée.

On dénombre également des espèces migratoires comme l’hirondelle de rivage, l’hirondelle de fenêtre, l’hirondelle rustique et le martinet noir.

L’Aéroport Montpellier Méditerranée représente un complexe de locaux et d’équipements grands consommateurs d’énergie.

Pour assurer le bon fonctionnement de ces installations, la plate-forme dispose d’équipements performants assurant la production de froid et de chauddans les bâtiments.

Des actions en faveur de la réduction de sa consommation d’énergie électrique sont réalisées chaque année notamment la mise en place d’éclairage « nouvelle génération » à Leds lors des constructions et rénovation de bâtiment et la finalisation du remplacement des balises par des lampes à Leds sur les taxiways.

CENTRALE PHOTOVOLTAIQUE

Depuis novembre 2015, une centrale solaire photovoltaïque de 4,5 MWc a été installée sur les parkings de l’Aéroport Montpellier Méditerranée.

Les ombrières photovoltaïques couvrent 1 800 places de parking, assurant le confort des passagers. Un espace est équipé de deux bornes pour une recharge gratuite des véhicules électriques.

Les 16 016 modules dotés d’un verre spécifique anti-éblouissement fourniront 6200 MWh/an, soit l’équivalent de la consommation d’électricité annuelle de 5 000 personnes (hors chauffage) pour un gain carbone de 4200 tonnes / an, équivalent à 2 500 voitures roulant 10 000 km/an.

TYPES DE DÉCHETS

DÉCHETS NON DANGEREUX DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES

Dans un souci de proximité des producteurs de déchets, quatre zones de tri, dont une déchèterie, sont réparties sur la plate-forme en fonction de la nature des déchets produits dans le secteur : papier-carton, bois, palettes réutilisables, encombrants, ferrailles, bouteilles en plastiques et canettes.

DÉCHETS DANGEREUX DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES

La gestion des déchets dangereux est généralement beaucoup plus complexe que celle des déchets non dangereux en particulier du fait de leur caractère toxique ou dangereux. Chaque producteur a la responsabilité de ses propres déchets : huiles, pneus, filtres à huiles, chiffons et emballages souillés, batteries et piles.

VALORISATION DES DÉCHETS

La SA Aéroport Montpellier-Méditerranée s’attache à augmenter son  taux de valorisation  grâce à la promotion régulière du tri à la source des déchets, auprès des entreprises de la plate-forme.

SÉCURITE GÉNÉRALE

L’Aéroport Montpellier Méditerranée a pour objectif l’amélioration permanente de la sécurité et la prévention des accidents sur le périmètre géré par la SA AMM.

Établissement recevant du public

La SA AMM répond à la règlementation ERP – Type GA de 1° catégorie. Dans ce cadre là, des obligations en termes d’aménagement et de sécurité incendie essentiellement sont respectées.

Sécurité des travailleurs - code du travail

Conformément à la réglementation, l’Aéroport de Montpellier a réalisé son document unique qui lui permet de prévenir les risques liés aux postes des personnels AMM. Il réalise également des plans de prévention pour les travaux sous-traités le nécessitant.

 

SÉCURITÉ AÉROPORTUAIRE

La Sécurité Aéroportuaire répond à une règlementation européenne émise par l’AESA. 

Nouveau texte, nouvelles exigences…

Le règlement européen (février 2014) impose aux aéroports éligibles (ceux ayant un trafic commercial supérieur à 10 000 passagers/an), le respect de nouvelles exigences et la mise en conformité de leurs procédures, organisations et infrastructures.

La certification des Aéroports français est assurée par DSAC (Direction de la Sécurité de l’Aviation Civile) et suivi régulièrement dans le cadre d’Audits.

L’organisation et l’exploitation des infrastructures aéronautiques sont plus particulièrement visées. L’Aéroport de Montpellier a vu certaines de ses missions s’étendre. Il est le « chef d’orchestre » de la sécurité sur sa plateforme. 

Désormais responsable de la surveillance des obstacles, de l’évaluation du péril animalier ou encore des activités dangereuses, l’exploitant occupe un rôle plus important qu’auparavant. Il est le garant de la prévention des incendies, de la coordination des secours, de l’usage de l’alcool et de substances psycho actives, du programme de formation et enfin du contrôle des compétences pour l’ensemble des intervenants de l’aéroport.

Le système de gestion de la sécurité repose sur 5 piliers :

L’objectif de l’Aéroport de Montpellier dans ce cadre-là est d’assurer le « zéro accident » !

 

SÛRETÉ

La sûreté aéroportuaire répond à une règlementation internationale déclinée aux niveaux Européen et Français. Cette réglementation impose à tout aéroport, qui souhaite recevoir du trafic commercial.

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