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Rome, une si belle histoire…

La « dolce vita », mais aussi les monuments et musées légendaires de la capitale italienne, agissent comme un aimant. Une ode à l’art et à la beauté, à laquelle il est difficile de résister !

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2 vols Montpellier - Rome par semaine

Du 29/10/2023 au 30/03/2024

vols MONTPELLIER (MPL) > ROME FIUMICINO (FCO)

2 vols par semaine

Du 08/02/2024 au 30/03/2024
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Du 31/03/2024 au 26/10/2024

vols MONTPELLIER (MPL) > ROME FIUMICINO (FCO)

2 vols par semaine

Du 07/04/2024 au 30/06/2024
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2 vols par semaine

Du 05/09/2024 au 24/10/2024
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Indispensable à savoir

Devise
Euro
Langue officielle
Italien
Temps de vol
1h30
Indicatif téléphonique
+39
Décalage horaire
0H
Heure locale
10H50
Distance
727 KM
Météo du jour
15°C
Formalités
Carte Nationale d'Identité ou Passeport

Découvrir Rome

Rome partage avec Paris le titre de « plus belle ville du monde ». Mais pour un Français, elle est bien plus exotique ! En bon Romain, c’est en sandales (ou plus sûrement en baskets !) que l’on parcourt la ville pour en humer l’atmosphère, de ruelles en piazzas, de jardins en palais, de fontaines en musées. En prenant garde de ne pas se faire écraser par les scooters pétaradants ! Car contrairement à Florence figée dans son patrimoine, la ville éternelle offre une délicieuse tranche de vie, une « dolce vita » incarnée par des Romains insouciants, beaux comme un tableau de Botticelli, fiers jusque dans leur accent si chantant ! 

Dans ce berceau de la civilisation occidentale, dans cette cité vieille de 2500 ans, il vous faudra en permanence louvoyer entre la ville Antique, la ville baroque et la ville apostolique. Pour mettre un peu d’ordre dans cette Rome si échevelée, pourquoi ne pas choisir l’ordre chronologique ? A tout empereur tout honneur, le Colisée et le Forum rappelleront à certains leurs leçons de latins. Au milieu des ruines noircies par le temps, les frasques de César et les joutes des gladiateurs prennent une tournure plus amusante que sur les bancs du lycée ! La visite se transforme ensuite en un rallye pédestre épique, à la découverte des façades baroques et Renaissance du centre-ville. Ici, l’art de la rue n’a pas attendu les graffitis ! Les chefs d’œuvre sont partout, dans les venelles, dans les églises ; un Caravage oublié dans une basilique, un Boticelli « mineur » qui éclaire un palais… 

Le meilleur moyen de garder la tête froide devant tant de splendeurs est de s’accorder quelques pauses rafraîchissantes ou s’offrir un café serré. Place d’Espagne par exemple, dont les escaliers dégoulinent d’azalées au printemps ; ou sur la Piazza Navona, perfection baroque à la fontaine exubérante signée du Bernin. Les « gelati » - les fameuses glaces italiennes - vous convaincront que même à Rome, la gourmandise n’est pas un pêché ! A moins de préférer une trattoria familiale ou une pizzeria du quartier populaire du Trastevere, où le linge dégouline toujours en dentelle au-dessus des rues… Cette échappée ne saurait s’achever sans un dernier détour par la fontaine de Trevi pour y jeter une pièce. Selon la légende, c’est la certitude de revenir un jour dans la ville éternelle

De l’autre côté du Tibre qui coupe Rome en deux, le Vatican exhibe ses richesses ; un état de 44 hectares (le plus petit du monde) enclavé dans la ville, avec son propre « gouvernement », ses timbres et ses euros frappés du visage du Pape et ses fameux gardes suisses au pittoresque uniforme, jaune, rouge et bleu. Cernée par une forêt de colonnes surmontées de 140 statues, décorée de fontaines et d’un obélisque, la place Saint-Pierre en est l’épicentre. Elle peut accueillir jusqu’à 300 000 fidèles. 

Et pourtant, elle semble presque étriquée comparé à la basilique Saint-Pierre, si vaste qu’elle peut engloutir quatre cathédrales de Chartres… Tout ici donne le tournis : le baldaquin de 29 mètres, les colonnes de la nef centrale, les dorures flamboyantes et les marbres éclatants. Vertige encore lorsqu’il s’agit d’entreprendre l’ascension (par un escalier étroit et périlleux) des 136 mètres de la coupole. Mais de là-haut, le spectacle de la cité aux sept collines est éternel. Tout comme celui des musées du Vatican qui exposent les collections amassées par l’Eglise au fil des siècles, jusqu’à la chapelle Sixtine. On ressort bouleversé par la puissance de « La création du monde » de Michel Ange qui orne son plafond…         
 

Sites et monuments

  • Le Colisée datant du 1er siècle, le plus grand amphithéâtre romain dont les gradins pouvaient accueillir 50 000 spectateurs !
  • La Place du Capitole dessinée par Michel-Ange et bordée de trois palais : des Sénateurs, des Conservateurs et Palais Neuf
  • Le Forum et ses innombrables vestiges de la Rome antique (temples, arcs de triomphe, thermes…) 
  • Le Panthéon, dont la vaste coupole défie le temps depuis deux mille ans
  • Le Monument à Victor-Emmanuel II, imposant édifice de marbre blanc de la fin du XIXème siècle. Vue époustouflante depuis la terrasse
  • L’église de la Trinité-des-Monts, chef d’œuvre baroque qui surplombe la place d’Espagne, à laquelle on accède par un escalier de 137 marches  
  • La fontaine de Trevi au décor monumental, immortalisée par Fellini dans le film « La Dolce Vita »
  • La basilique Saint-Jean-de-Latran, la plus ancienne église de Rome 
  • Les basiliques Sainte-Marie-Majeure et Saint-Paul-hors-les-Murs, deux des quatre basiliques papales de Rome  
  • Le château Saint Ange, forteresse médiévale aux murs crénelés et aux riches intérieurs, aux portes du Vatican
  • La basilique Saint-Pierre coiffée d’une vaste coupole, épicentre du Vatican et de la chrétienté 

 

Parcs

  • Le parc de la Villa Borghèse (80 ha), d’inspiration anglaise. Il est agrémenté de jeux pour les enfants et d’un parc zoologique
  • Les jardins du Vatican, une vingtaine d’hectares que l’on peut explorer uniquement le matin
  • Le jardin de la Villa Celimontana, à deux pas du Colisée, pour reprendre des forces au frais
  • Le jardin botanique de Rome (quartier du Trastevere): roseraie, bambouseraie, jardin japonais…

 

Musées

  • Musées capitolins – Hébergés dans deux palais qui bordent la place du Capitole. Fresques, statues...
  • Palais Colonna – Toujours habité, ce palais du XIVème siècle abrite une importante collection d’œuvres, exposées notamment dans une riche galerie de 76 m
  • Villa Médicis – Ce palais de la Renaissance, qui héberge l’Académie de France, accueille des expositions d’artistes francophones
  • Galerie Borghèse – une fabuleuse collection privée, dans un décor époustouflant
  • Palais Maxime – il est exclusivement consacré au monde romain
  • Musées du Vatican – Plusieurs musées aux collections inestimables, dont les appartements de Jules II décorés par Raphaël et la voûte de la Chapelle Sixtine peinte par Michel-Ange. 
  • GNAM – musée d’art moderne (XIXème siècle à nos jours), dans un bâtiment néoclassique    
  • 21 avril : naissance de Rome, avec animations et feux d’artifices
  • 25 avril : fête de la libération de 1945
  • 2 juin : fête de proclamation de la République
  • 24 juin : fête de la Saint-Jean, pour partager le cochon de lait rôti
  • 29 juin : fêtes célébrant Saint-Pierre et Saint-Paul, les deux saints patrons de Rome
  • 15/30 juillet : fête de Noantri, avec processions dans le quartier du Trastevere
  • Fin septembre : Festival Roma Europa (concerts, spectacles…)  
  • Les fêtes chrétiennes (Noël, Pâques, Pentecôte, Assomption…), qui voient affluer les pèlerins du monde entier.

 

  • Certains véhicules sont à jamais associés à Rome : la Fiat 500 et la Vespa mais aussi l’Ape Calessino, triporteur icône des sixties popularisée par le film La Dolce Vita. Osez ces moyens de transports (avec chauffeur !) proposés par des agences locales, pour une découverte décalée de la ville. 

  • Dans les quartiers populaires de Testaccio et Ostiense, on admire les œuvres de street-art sur les murs des usines abandonnées avant de rejoindre l’ancienne centrale électrique Montermartini, qui expose des statues antiques au milieu des machines monumentales. Un contraste saisissant !

  • Dans une ville forte en histoire, on en oublie le futur ! Il prend ses aises dans le quartier Flaminio. On y découvre le Maxxi, bâtiment futuriste de l’architecte Zaha Hadi dédié à l’art contemporain, l’Auditorium de Renzo Piano et la Grande Mosquée (1995) dont le minaret culmine à 43 mètres.      
     

Entrées

  • Antipasti – des hors d’œuvre à partager, qui mêlent fruits de mer, légumes, fromages…
  • Bruschetta – une tartine de pain, frottée à l’ail et garnie de tomates, poivrons grillés, jambons, fromages…  
  • Prosciutto, salami, mortadelle… les charcuteries italiennes mettent en appétit

Plats

  • Spaghettis, tagliatelles, pennes, rigatonis… il y a des dizaines de manières de préparer les pâtes ! 
  • Abbacchio (agneau) – rôti au fou, mijoté ou à la poêle, c’est un incontournable de la cuisine romaine 
  • Coratella – abats d’agneaux mijotés dans du vin blanc et de l’huile d’olive, avec des oignons. On la déguste avec des artichauts farcis d’ail
  • Porchetta – cochon de lait farci puis rôti, que l’on mange froid en tranches, ou poêlé

Desserts

  • Pecorino – un fromage de brebis, dégusté sec et corsé à Rome 
  • Tiramisu – gâteau à base de mascarpone er de biscuits imbibés de café
  • Panna Cota – une crème que l’on mange nature ou avec un coulis de fruits   

Boissons

  • Le vin* et notamment les vins du Latium (région qui inclut Rome) avec pour principaux cépages le malvasia (blanc), le merlot et le sangiovese (le plus répandu en Italie)
  • Le café, et notamment l’expresso, que l’on apprécie très serré (ristretto) en Italie
  • Le cappuccino, café allongé coiffé d’une mousse de lait et saupoudré de cacao
  • La grappa*, une eau de vie que l’on déguste blanche (jeune), vieillie ou aromatisée (épices, plantes médicinales…)
  • La sambuca*, un digestif à base d’anis particulièrement prisé à Rome

* l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

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