Paris, toujours aussi attractive

On y fait quoi ?

De la mode aux nouvelles technologies en passant par la finance, Paris caracole en tête des villes les plus attractives de la planète. Et l’Ile de France est incontournable, représentant à elle seule 30% du PIB français. Dans les avions  au départ de Montpellier, les voyageurs d’affaires sont d’ailleurs majoritaires, plébiscitant l’offre La Navette d’Hop ! Air France qui offre fréquence et souplesse. Avec même la possibilité de modifier son vol au dernier moment, lorsqu’un rendez-vous se termine plus tôt que prévu ou s’éternise ! 
S’il convient de bien choisir l’aéroport d’arrivée (Roissy au nord, Orly au sud) en fonction de son lieu de rendez-vous, nombre de cadres prennent le chemin de La Défense, le plus grand quartier d’affaires européen où se concentrent 70 tours et 3500 entreprises, dont les sièges des plus grosses multinationales, de la Société Générale à Saint-Gobain, qui construit d’ailleurs un nouveau gratte-ciel. Car le quartier bourdonne ! Entre deux rendez-vous, n’oubliez pas de lever la tête. Le spectacle est vertigineux… De nouvelles tours sortent chaque année de terre, comme D2 (171 m) de forme ovoïde, Carpe Diem (160 m) à la silhouette biscornue ou la tour First (la plus haute de France qui culmine à 230 m) ; en attendant les deux tours Hermitage Plaza prévues pour 2024. Elles atteindront 320 m, un record européen ! 
Paris est aussi la capitale mondiale des startups. Depuis l’an dernier, près de la gare d’Austerlitz, la ville accueille Station F, le plus grand incubateur du monde installé dans la Halle Freyssinet, qui regroupera à terme un millier de jeunes pousses. Le lieu abrite aussi La Felicita, un restaurant « trendy » de 1000 places ouvert 24h/24, qui emploie 400 salariés ! 

Comment on y va ?

Hop ! Air France propose un véritable pont aérien entre Montpellier et Paris. Orly est relié à la capitale languedocienne jusqu’à 10 fois par jour avec La Navette, quand la desserte de Roissy est assurée quatre fois par jour. 

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Nantes, terre de géants

On y fait quoi ? 

Il fait bon vivre à Nantes, régulièrement classée dans le Top 3 des villes où les Français rêvent de s’installer. Mais il fait aussi bon y travailler ! Avec plus de 100 000 emplois créés en 20 ans, la métropole est devenue la 8ème agglomération française en termes d’emploi. Ce dynamisme est largement tiré par l’industrie avec 3600 entreprises du secteur en Loire-Atlantique dont quelques géants mondiaux, comme les Chantiers de l’Atlantique (à Saint-Nazaire) et Airbus, mais aussi Total ou Manitou, qui font vivre une ribambelle de sous-traitants. Autre point fort : l’agroalimentaire avec des grands noms comme LU et Tipiak et le second Marché d’Intérêt National de France derrière Rungis, qui intéressent notamment les agriculteurs du Languedoc. 
Pour autant, Nantes sait aussi être à la pointe des technologies. La ville est devenue le 1er pôle industriel français pour les énergies marines et renouvelables (éolien off-shore, hydrolien…), avec 1000 chercheurs qui seront mobilisés d’ici 2020. Elle caracole aussi en tête dans les domaines de la santé et des biotechnologies (80 entreprises sont implantées au sein d’Atlanpôle biothérapies), et du numérique. Labellisée French Tech, Nantes affiche même la plus forte croissance de l’emploi numérique en France. Enfin, il y flotte aussi un vent de folie avec les industries culturelles et créatives, regroupées dans le Quartier de la création. Bref, les points communs avec Montpellier sont nombreux et les deux villes se partagent quelques entreprises mondiales, comme Cap Gemini ou IBM. Pas étonnant qu’elles tissent des relations économiques de premier plan, et que les avions fassent le plein !

Comment on y va ?

Deux compagnies relient Montpellier à Nantes, soit jusqu’à 3 vols par jour. Hop ! Air France propose jusqu’à 2 rotations par jour, Et Volotea assure un vol quotidien.

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Bordeaux, bien plus que le vin ! 

On y fait quoi ? 

Impossible d’évoquer Bordeaux sans parler du vin ! La ville et les vignobles de la région feraient vivre près de 15 000 producteurs et plusieurs centaines de négociants, pour un chiffre d’affaires cumulé de 15 milliards d’euros. Cette richesse rejaillit dans le centre ville aux riches monuments, classé au patrimoine de l’Unesco ; dans le quartier des Chartrons aussi, jadis celui des négociants de vin devenu un haut lieu des nuits bordelaises. Symbole de cette toute puissance, la nouvelle Cité du Vin dévoile ses lignes futuristes aux portes de la ville… En toute logique, Ricard et Marie Brizard se sont installés dans la région ! 
Avec le Languedoc, autre terre viticole, les relations économiques ne pouvaient donc qu’être fructueuses… Mais elles ne se limitent pas au vin. Car Bordeaux affiche aussi depuis quelques années un dynamisme à toute épreuve. Aux industries historiques, notamment l’automobile avec des fleurons tels que Ford et Michelin, répondent des industries de pointe qui attirent des salariés séduits par le cadre de vie et par les plages de l’Atlantique, à une cinquantaine de kilomètres. En atterrissant à l’aéroport de Bordeaux, on devine que la région est un pôle majeur de l’aéronautique. C’est ici que l’on fabrique les éléments des Airbus, les avions de chasse Rafale ou les propulseurs de la fusée Ariane ; là que Dassault, Safran ou Thalès ont décidé de développer leurs savoirs-faires, attirant dans leurs sillages de nombreuses startups innovantes. Comme Montpellier, Bordeaux est d’ailleurs labellisés French Tech. Toutes ces entreprises profitent du port. Chaque année, plus de 1500 navires accostent sur les rives de la Garonne. Peut être apercevrez-vous les barges géantes qui transportent les éléments de l’A380 jusqu’à Toulouse… 

Comment on y va ?

Chalair Aviation relie Montpellier à Bordeaux, avec  deux vols par jour du lundi au jeudi, un vol le vendredi, permettant aux voyageurs d’affaires d’effectuer l’aller/retour dans la journée.

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Bâle et Mulhouse, le boulot à la puissance deux

On y fait quoi ?

C’est un étrange aéroport situé sur une frontière, en l’occurrence entre la France et la Suisse. En atterrissant à l’EuroAirport de Bâle-Mulhouse, vous aurez donc le choix entre rester dans l’Hexagone ou filer en toute légalité à l’étranger ! La région est au coeur de l’un des bassins économiques les plus dynamiques d’Europe. Troisième plus grande ville de Suisse, Bâle cultive quelques points communs avec Montpellier, notamment une industrie chimique et pharmaceutique (avec Novartis) prospère ; et, bien sûr, des banques ! Le commerce est également fleurissant grâce au port sur le Rhin d’où l’on peut effectuer de jolies balades, mais seulement une fois la journée terminée. Car ici, le temps, c’est de l’argent ! L’industrie horlogère est là pour le rappeler, avec sa foire annuelle de réputation mondiale. Les marchands d’art sont également à la fête lors de l’Art Basel, la plus importante foire d’art contemporain en Europe.   
Pour sa part Mulhouse met en avant son secteur automobile (avec notamment une usine Peugeot) et une forte concentration d’entreprises liées aux nouvelles technologies (robotique, communication…). Celle qui fut surnommée le « Manchester français » au 19ème siècle en raison de son industrie florissante peut aussi s’enorgueillir de posséder des musées témoignant de ses riches heures passées, de la Cité de l’Automobile (la plus grande collection du monde, avec 500 véhicules) à la Cité du Train (plus grand musée ferroviaire d’Europe) en passant par Electropolis dédiée à la fée électrique. Visites obligatoires après le travail !

Comment on y va ?

Easyjet relie Montpellier à l’EuroAirport, avec  trois vols par semaine. Pour les voyageurs d’affaires, la compagnie propose l’offre « flexi » (modification du billet possible jusqu’à la dernière minute, choix du siège, bagage en soute, coupe-file…).     

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