29.03.2024
Trois raisons de s’envoler avec BA Euroflyer
Filiale de British Airways, la nouvelle compagnie britannique proposera dès la fin du mois de mai une ligne entre l’aéroport de Montpellier-Méditerranée et Londres-Gatwick.
1 - Voler confortablement jusqu’en Angleterre
Les grandes compagnies européennes font leur retour à Montpellier, via leurs nouvelles filiales dédiées aux vols courts courriers en Europe. Après l’allemande Eurowings (Lufthansa) qui a annoncé ses premiers vols pour Francfort en juin, c’est au tour de BA Euroflyer de poser ses avions sur le tarmac languedocien. Dès le 27 mai, la jeune filiale de British Airways reliera Montpellier à Gatwick, l’aéroport situé dans le sud de Londres. Si les Anglais pourront ainsi accéder facilement aux plages de la région, cette nouvelle ligne est également l’occasion pour les Languedociens de rejoindre Londres en seulement 1h45. Officiellement lancée en 2022, BA Euroflyer a déjà tout d’une grande et peut s’appuyer sur l’expertise de sa maison-mère pour proposer un service de qualité. Les vols sont opérés avec des Airbus A320 de 180 places, garantie de sécurité et fiabilité. A bord, les passagers ont le choix entre deux classes de voyage, pour un meilleur confort. Le billet en classe économique inclut un bagage en cabine et une collation à bord… Le bagage en soute est optionnel et payant. En classe affaires (baptisée Club Europe), les passagers bénéficient d’un accès au salon, d’un repas et d’un service de boissons, de bagages gratuits en soute et de divers avantages comme l’embarquement prioritaire.
La bonne idée : tous les passagers peuvent cumuler des points dans le cadre du programme de fidélité Executive Club de British Airways et de ses partenaires de l’alliance Oneworld (American Airlines, Cathay Pacific, Iberia, Royal Air Maroc…)
2 – Profiter d’un vaste réseau de vols en correspondance
BA Euroflyer a installé sa base à Gatwick, le second aéroport londonien par la taille et l’un des hubs de correspondance de British Airways. La ligne au départ de Montpellier sera opérée tous les mardis, jeudis et samedis, permettant des court-séjours dans la capitale anglaise. Pour les grands voyageurs, ce sera aussi l’occasion de s’envoler au-delà de Londres grâce aux correspondances proposées par British Airways. Les vols depuis Montpellier sont commercialisés sous le code BA (British Airways), ce qui facilite les transits : un seul billet jusqu’à la destination finale, des bagages enregistrés de bout en bout et, pour les passagers en classe affaires, la possibilité de profiter des installations de British Airways, notamment ses salons d’attente. La compagnie et ses partenaires desservent 190 destinations dans 65 pays, dont une quarantaine au départ de Gatwick. En particulier vers les Etats-Unis. Les passagers montpelliérains pourront ainsi rejoindre New York ou Orlando, avec une correspondance facilitée. Et pour ceux qui recherchent le soleil, des connexions rapides sont également proposées pour l’Ile Maurice et pour Doha (Qatar). D’autres correspondances sont possibles, à condition de passer une nuit sur place ; notamment pour les iles caribéennes d’Antigua, Sainte-Lucie, Tobago-et-Trinidad, tout aussi ensoleillées que la Guadeloupe ou la Martinique mais plus « exotiques », car on y parle anglais…
La bonne idée : On peut rejoindre Kingston (Jamaïque) en transitant via Londres-Gatwick (une nuit sur place), ce qui n’est pas possible via Paris. Passage obligé par la maison colorée de Bob Marley, avant de bronzer sur des plages parmi les plus belles des Caraïbes.
3 – Fêter le nouveau roi à Londres
Charles III sera couronné le 6 mai. En cette année exceptionnelle, voilà un bon prétexte pour explorer Londres en marchant dans les traces de la famille royale. A tout roi tout honneur, on démarre par la
Tour de Londres. Flanquée d’un donjon, la forteresse aux épais murs crénelés fut la résidence royale, avant de devenir une prison. Peut-être y croiserez-vous le fantôme d’Anne Boleyn, la deuxième femme d’Henri VIII décapitée pour adultère. Mais plus sûrement les joyaux de la couronne qui y sont exposés, à commencer par le plus gros diamant du monde. Aux portes du quartier de la City où se mêlent gratte-ciels de verre et ruelles médiévales, on pousse les portes de la cathédrale Saint-Paul. C’est dans sa nef, étincelante de mosaïques, que Diana a dit oui à celui qui n’était encore que prince. Les 700 marches qui conduisent au dôme sont épuisantes. Mais de là-haut, la vue dévoile les sites emblématiques du Londres royal. Récemment rénovée, Big Ben carillonne comme jamais pour son nouveau roi. L’horloge toise l’Abbaye de Westminster voisine. En un millénaire, elle a vu défiler tous les couronnements depuis Guillaume le Conquérant. Dernière étape obligatoire par Buckingham Palace. Il y a peu de chance que vous y croisiez Charles III. Mais l’opulente résidence ouvre ses portes aux visiteurs durant l’été (réservation obligatoire). A défaut, on se contente de la relève de la garde à 11 heures pétantes, bien amusante avec ses soldats à bonnet poilu !
La bonne idée : Le château royal de Windsor n’est qu’à une trentaine de kilomètres de Londres par le train (départs depuis les gares de Paddington ou Waterloo). C’est là qu’a été inhumée la reine Elizabeth II, aux côtés de son époux.
Comment on y va ? avec BA Euroflyer, qui vole trois fois par semaine entre Montpellier-Méditerranée et Londres-Gatwick, dès le 27 mai.
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